L'homéopathie: Comment mieux vivre sa grossesse et son accouchement?
- Elodie C

- 25 oct. 2019
- 2 min de lecture
C’est souvent pendant la grossesse qu’on découvre l’homéopathie et ses biens faits. Effectivement, certains médicaments allopathiques sont contre-indiqués en raison de leur(s) risque(s) tératogène(s) ou de leurs effets indésirables sur l’évolution de la grossesse. La médecine allopathique est donc très limitée en termes de traitement. Étant sans danger pour maman et pour bébé, l’homéopathie constitue en effet une alternative de choix pour traiter les différents petits bobos de la grossesse et de la petite enfance.
Que peut-on traiter avec l’homéopathie ?
Elle peut être utilisée pour soulager différents maux de grossesse, en association ou non aux mesures hygiéno-diététiques et à un traitement allopathique :
• les nausées et vomissements ;
• les remontées acides ;
• l’hypersalivation ;
• les crampes ;
• la constipation ;
• les douleurs articulaires et ligamentaires ;
• les troubles du sommeil ;
• le stress et l’anxiété ;
• les hémorroïdes ;
• les lombalgies ;
• les jambes lourdes ;
• l’aide au sevrage tabagique...
Elle a aussi une place importante pour mieux vivre l’accouchement et le post-partum. Je ne prétend pas que cette alternative efface les douleurs dues aux contractions ou encore qu’elle évite les difficultés pouvant surgir lors d’un accouchement. Mais elle constitue une aide au travail en apportant sérénité à la future maman et en favorisant le processus physiologique de la naissance.
Preuve a l’appui :
Diverses études montrent que les mamans ayant eu un traitement homéopathique adapté pendant le neuvième mois de grossesse et le travail avaient un travail plus cours que celles sans traitement. Cette préparation doit idéalement débuter en amont de l’accouchement. Pour certaines futures mamans, elle doit même commencer dès le début de la grossesse.
Une place aussi après l’accouchement ...
En post-partum, la jeune maman se retrouve seule face à ses émotions et au grand bouleversement que l’accouchement peut créer. Avec l’aide de l’homéopathie, elle peut mieux vivre le processus physiologique de récupération. L’homéopathie peut aider à soulager certains maux fréquents en post-partum comme la fatigue, la constipation, les hémorroïdes, les douleurs d’épisiotomie. Mais aussi, le baby-blues.
Et en ce qui concerne l’allaitement ?
L’homéopathie peut aussi jouer un rôle dans l’allaitement maternel. En aucun cas, elle ne remplace « les règles » de base garantes d’un allaitement réussi, mais elle peut s’avérer très utile dans certaines situations (favoriser la montée de lait et la lactation, crevasses, mastites ...). Pour les mamans ne souhaitant pas allaiter, l’homéopathie est une solution pour stopper la lactation, au vu des nombreux effets secondaires du traitement allopathique.
Sans danger!
Pour rappel, il n’existe aucune contre-indications à l’homéopathie durant la grossesse. Les principes actifs ne passent pas la barrière placentaire ou alors en quantité tellement infime, si bien qu’ils ne présentent aucun risque de toxicité fœtale. Elle peut être utilisée en complément des traitements allopathiques, sans risque d’interaction. Le choix des remèdes homéopathique repose sur le terrain de la future maman et les caractéristiques des maux de grossesse dont elle souffre. C’est une alternative incroyable mais elle ne doit pas se substituer à l’allopathie lorsque celle-ci est nécessaire.
En pleine formation, je vous offre déjà mes services pour une préparation homéopathique personnalisée!
Elodie <3




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